tralala bis, ou "Ainsi je parle"
Alors alors alors... Je tiens à préciser que le commentaire précédent est définitivement celui qui ouvre cette merde de blog. Oui: je dis bien: cette "merde de blog". J'entends d'ici les esprits étriqués s'affoler et faire danser leur luette au son glorieux du mot de Cambronne: "Quoi quoi quoi? Quoi quoi quoi? Quoi quoi quoi?" (etc à volonté et sur une durée restant à définir) "Quoi, disais-je donc, comment peut-on, comment ose t-on, comment se permet-on, face à la République, le dos tourné à la dictature et le nez en l'air, comment et par quel miracle écrit-on ce mot quelque peu grossier (ici ouvrir la bouche bien grand) sur une page susceptible d'être lue par des coeurs blancs et purs, inaptes à la lecture d'insanités puisées au coeur de la mélasse populaire, de la fange ?" Et bien et bien et bien: avec le clavier!
Ce blog sera celui de la merdicattitude.
Ce blog sera un peu le cabas rempli des bonnes merdes du marché. De votre marché.